lu dans l'argus de l'assurance août 2010
Plus de 19,5 millions de Français ont déjà réalisé un devis d'assurance en ligne, et le taux de transformation 100% en ligne oscille aujourd'hui entre 2 et 5 %. 10 % des affaires nouvelles devraient ainsi provenir d'Internet d'ici à 3 ans !
vu dans l'argus de l'assurance du 30 avril 201
+ 5.9 % en 2009, telle est la croissance du marché de l'assurance santé en France. Si les mutuelles pprogressent d'un peu plus de 3 %, les assureurs eux, sont à 11,3 %, en euros. L'une des raisons évoquée est la volatilité des assurés. Si avant, on choissisait une mutuelle "pour la vie", désormais, le turn over est de 10 % par an (source : maurice Ronat, pdt du groupe Eovi mutuelles et de la Fédé nationale de la mutualité interpro (FNMI). La durée d'un contrat santé individuel est environ de 7 ans (idem qu'un contrat auto). Le prix moyen d'une mutuelle est de 1 000 € par an pour une famille, mais ce prix est plus élevé dans une mutuelle. Les mutuelles sont mono produit et ne répondent pas ainsi à la demande de "guichet unique'. Enfin, les mutuelles souffrent d'un manque de notoriété.
Lu dans l'argus de l'assurance du 19/02/10
+ 10 % en 1 an (étude kantar media) avec en tête Groupama (675 266 k€) et loin, loin derrière, MMA (62 943 k€), Maaf 51 175 k€, Allianz (46 251 k€ + 46 %), Axa (42 407 k€ + 41 %), Direct Assurances (36 942 k€ ++ 40 %). Plutôt que de fermer les vannes avec la crise, les annonceurs ont choisi de renforcer leur présence médiatique. Objectif : rester présent dans les esprits de ceux qui veulent changer d'assurance, communiquer sur les prix. 2 exceptions : swiss life et Aviva ont baissé leurs investissements respectivement de 19 et 57 %. focus sur GMF (41 401 k€ + 11 %) qui cible les jeunes fonctionnaires dans sa nouvelle campagne, pour faire face aux départs massifs à la retraite, avec une promesse, la sérénité "l'assurance qui en fait de plus en plus pour ses clients, afin que ses derniers vivent plus sereinement" selon Sylvie Lagourgue, directrice marketing et communication. "la communication sur les offres seules ne suffit plus" ajoute-t-elle.